L'envie de la boue, me permet d'endormir mon réveil, avec 10 min d'avance.Nous sommes 5 à braver les frimas de l'hiver et bien que la Loire ait baissé de 15 bons cms, le terrain gras tant attendu, fut liquide.

Qu'importe, la cadence est bonne, les gars en redemandent, au point de finir avec une moto sur chacun de mes cale-pieds, bloqué dans les marches en pierres glissantes.Un peu trop à gauche dans le virage précédent, au point d'accrocher une branche, les loustics me rattrapent et le tout perturbe, mon placement dans ses escaliers de savonnettes.Fou rire garanti.

L'eau, partout, nous impose des détours. Le GPS, chauffe mais recalcule la trace. Et c'est bien la seule chose qui chauffe, par ce temps, de l'eau jusqu'aux genoux.

On tente de reprendre le circuit plusieurs fois.Mais rien y fait. Pendant qu'en ce jour, intrépide, l'habituel Mr PROPRE, fait boire la tasse à sa bleue, DTMX me propose, une tasse plus chaude, d'un café, bien venu.

On vide les bottes des éventuels Têtards, dont la traduction Portugaise est inconnue de José (voir le titre) qui ne connait que l'évolution finale de la bête (Los grenouillache)

Pause café, la bleue repart pas. Après les bottes, on vide la cuve du carbu, on plie une clé Katoche, c'est pas Portugais mais de la merda, pour une chaine bien trop tendue. O ' kick rentre par la route. La prochaine c'est la bonne ....si si tu finiras.

On repique sur le labyrinthe et on lève, le long du ruisseau, une paire de culs blancs. Je marque le pas, dans le virage pour voir partir les chevreuils et Gazou en profite pour me faire l'intérieur et me refaire l'extérieur du casque du même coup.

A propos de coup, on fini par une bière.

Une douche chaude.... enfin et la cheminée pour finir la journée

J'ai bien aimé, LOS GIRINOS

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